« Pourquoi je continue ? Pourquoi je lutte encore aujourd’hui à 92 ans et 2 mois ? Vous pensez que c’est moi, Manolis Glezos, qui vous parle. Non, ce n’est pas moi. À chaque fois que quelqu’un de nous était envoyé devant le peloton d’exécution, il nous demandait de ne pas l’oublier. De s’en (…)