Chers collègues,
Je me réjouis de votre réponse, fort tardive et post-électorale. Vous êtes libres d’assumer, assurément, vos préférences politiques, mais l’argument est, en l’occurrence, d’autant plus choquant que la vérité historique a été très malmenée par les tribunes affichées, soit de fait, sur les origines de l’Union européenne (deux tribunes d’« éminents historiens européens »), soit de principe, sur la conception même de l’histoire de cette Union (dans son titre même, celle des universitaires de Lille), et, surtout, que vous avez interdit tout débat sur ces choix.
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