Cette intervention qui date de 2024, résume mes recherches sur la politique anticoloniale et (…)
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Robespierre… Ils l’ont tué sans procès, jeté dans une fosse commune et recouvert de chaux vive. Puis, pour justifier leur crime, ils l’ont calomnié.
C’était il y a plus de deux cents ans, pourtant nos médias ne cessent aujourd’hui encore de le clouer au pilori. Il serait, entre autres, (...)
En juillet 2021, « Séries noires à la Une », un podcast de RetroNews - site de presse de la BnF (…)
« Vouliez-vous une révolution sans révolution ? (…) Qui peut marquer après coup, le point précis (…)
La figure de Jeanne ODO apparaît dans les sources écrites au début du mois de juin 1793. À (…)
Depuis les années 1980, une représentation idéalisée de Condorcet est répandue par le Parti « (…)
Dans les rangs des Gilets jaunes, de nombreux citoyen-ne-s se proclament comme apolitiques. (…)
Un extrait de l’introduction écrite par Yannick Bosc et Florence Gauthier, maîtres de conférences, spécialistes de la Révolution française, pour le livre Albert Mathiez, Robespierre et la république sociale. Contrairement à ce qui est écrit dans les manuels scolaires et par certaines encyclopédies, la Constitution de 1793 a bien été appliquée !
Durant plus de deux siècles, l’historiographie a « oublié » l’histoire de la première abolition de l’esclavage qui se produisit en deux lieux et en deux temps : dans la colonie de Saint-Domingue en 1793, puis par le vote de la Convention montagnarde le 16 pluviôse an II - 4 février 1794, à Paris. Il est temps de revenir aux sources, pourtant abondantes, pour redécouvrir l’esprit dans lequel s’est réalisée cette grande conquête de la liberté, ses propres mots et les moyens mis en œuvre. La proclamation de « la liberté générale » a été immédiatement suivie de l’élection d’une députation de « l’égalité de l’épiderme » par le « nouveau peuple de Saint-Domingue ». Leur volonté de réaliser « l’égalité de l’épiderme » s’exprima par l’élection d’une députation « tricolore » : deux députés noirs, deux métisses et deux blancs furent mandatés pour demander son aide à la République française. Qui étaient ces électeurs ? Qui élirent-ils ? Quel était le contenu de ce mandat ? C’est ce que nous sommes, aujourd’hui, en état de préciser.
Citoyens, Aucun homme d’État de la Révolution n’a été plus populaire pendant sa vie que celui que les contemporains surnommèrent dès la Constituante du beau nom d’Incorruptible, aucun pourtant n’a été plus tristement calomnié après sa mort ni plus bassement outragé. On imprime couramment, jusque dans les livres scolaires qui servent à l’éducation des enfants de l’école laïque, qu’il fut un (...)
Les lecteurs du journal L’Alsace.fr (12/12/2013) ont eu la surprise de trouver sur leur site une (…)
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