Quatrième de couverture :
« Je l’avoue, je ne suis pas un "bon Français". Quand onze footeux milliardaires remportent le "mondial", l’idée ne me viendrait pas d’entonner we are the champions en descendant les Champs-Élysées derrière un chef d’État en maillot bleu suivi de cent mille compatriotes en (...)